Nous avons eu de beaux échanges. Tu m'as offert de bonnes tranches de rigolade et de savoureux moments de lecture. Pas une de tes histoires ne m'a laissée tranquille sur ma chaise. Tes univers m'en extirpaient sans prévenir, comme un coup de groin expert dans une truffe se croyant bien planquée dans sa terre.
Ceux qui ont essayé de lire du Dorham d'un œil savent de quoi je parle. C'est impossible. Vous pensez pouvoir effleurer distraitement quelques lignes en oblique mais l'extracteuse Dorhamienne est déjà à l'œuvre. Vous voilà aspiré et violemment rejeté vers des mondes étranges faits de fakirs fous, de cadavres sans dents et de supermarchés effroyables.
"La suite !" venais-je ensuite bêler bêtement au bas de ta page.
Je ne peux donc que désapprouver ta pertinente idée de prendre le large avec le monde du blog. Mais je me réjouis de te savoir occupé à d'autres choses passionnantes et j'attends sagement tes futures publications. Heureusement, tu continues d'écrire.
Te souviens-tu du temps de la gloire, lorsque par exemple nous avions gagné l'eurovision ? Zoridae, Balmeyer, Gaël, Nicolas et moi faisions les chœurs derrière toi. C'était ta dernière représentation en chanteur de variété et nous avions pleuré beaucoup. A présent j'en souris : nous ne savions pas, à l'époque, que ta célèbre plume traviata-punk allait bientôt nous réjouir !
Ceux qui ont essayé de lire du Dorham d'un œil savent de quoi je parle. C'est impossible. Vous pensez pouvoir effleurer distraitement quelques lignes en oblique mais l'extracteuse Dorhamienne est déjà à l'œuvre. Vous voilà aspiré et violemment rejeté vers des mondes étranges faits de fakirs fous, de cadavres sans dents et de supermarchés effroyables.
"La suite !" venais-je ensuite bêler bêtement au bas de ta page.
Je ne peux donc que désapprouver ta pertinente idée de prendre le large avec le monde du blog. Mais je me réjouis de te savoir occupé à d'autres choses passionnantes et j'attends sagement tes futures publications. Heureusement, tu continues d'écrire.
Te souviens-tu du temps de la gloire, lorsque par exemple nous avions gagné l'eurovision ? Zoridae, Balmeyer, Gaël, Nicolas et moi faisions les chœurs derrière toi. C'était ta dernière représentation en chanteur de variété et nous avions pleuré beaucoup. A présent j'en souris : nous ne savions pas, à l'époque, que ta célèbre plume traviata-punk allait bientôt nous réjouir !
Petit rappel en images :
7 commentaires:
Oui, mais c'est une fainéasse.
C'est vrai.
Il chante bien aussi... Ce qui va me manquer aussi, c'est ses commentaires.
Ces mondes étranges qui est le nôtre, c'est bien comme ça que fonctionne la machine. Bel hommage de la Bouche d'aération à l'extracteur !
(heureux de te lire malgré les circonstances... j'ai mis un costume sombre.)
Ah, on était jeunes on était fous ;
à tous, je ne suis pas perdu et de temps en temps, je viendrai vous pourrir d'interminables commentaires :)
(bien sûr)
...
(euh... je te préviens si je ferme mon blog ? Je veux un hommage tout pareil ! :-)) ).
[oui, sauf que lui le mérité, patate…]
Catherine,
Oui, il chante comme un italiano vero et il commente comme personne !
Mtislav,
"qui est le nôtre" oui, tu fais bien de le préciser.
(merci ! Un chat noir dans un costume sombre, ça l'égaye du coup, non ?)
Dorham,
Dorhaaaaaaaaam !
:D
Tu vois bien qu'on n'attend que ça.
Monsieur Poireau,
T'inquiète, j'ai déjà rédigé tous les hommages de tous les blogs que je lis (parce que mon but est qu'il n'en reste qu'un : le mien).
Non, en fait je veux dire : Oué ouala, t'auras rien du tout alors il ne te reste plus qu'à continuer ;)
Enregistrer un commentaire